Des adaptations pour un élève dysgraphique, des illustrations concrètes du fait qu’adapter son enseignement à un élève en difficulté bénéficie à tous les élèves de la classe, conserver le lien avec des élèves hospitalisés, comment permettre aux élèves d’échanger leurs notes sur une leçon, l’organisation d’une classe spécialisée accueillant des élèves en situation de handicap avec plans de travail, projets à plusieurs et carnets de compétences… et tout cela notamment grâce au numérique, voici ce que vous allez découvrir dans cette vidéo fort intéressante !
Un grand merci à François Lamoureux, Ghislain Dominé et Anne Andrist pour le partage de leur travail et pour leur accord de diffuser cette vidéo très enthousiasmante dans le cadre de notre dossier « École Inclusive« .
Pour plus de détails sur leur travail, voici les liens vers les sites de ces 3 enseignants :
- Si c’est pas malheureux par François Lamoureux
- Au coin de la rue de Lannoy par Ghislain Dominé
- Ça va ou bien ? par Anne Andrist
L'ÉCOLE DE DEMAIN 
Bonjour,
Faire faire des exercices de graphisme à un élève qui présente un trouble graphique lorsqu’il a du temps ?
L’usage de l’ordinateur ou d’une tablette est une excellente compensation pour écrire.
Si la dysgraphie est une souffrance pour l’élève (il semble incapable de se relire, c’est un signe), le passage au numérique “total” doit être envisagé.
Les troubles “DYS” importants ont du mal à être corrigés par l’apprentissage.
Est ce une raison pour laisser totalement l’écrit manuscrit de côté ? Je ne suis pas d’accord. Le numérique comme levier, comme médium : oui. Mais s’abandonner totalement au tout numérique me paraît aussi extrême que de le refuser intégralement. Pour moi tout est dans le compromis et l’adaptation.