Socle commun : les propositions du SE-Unsa

socle1À l’heure où le Conseil Supérieur des Programmes (CSP) compose une nouvelle définition du socle commun, au nom de la loi de refondation de 2013, le SE-Unsa souhaite contribuer au débat sous la forme d’une proposition de texte qui vise à définir le socle commun, ses objectifs, ses implications pédagogiques, ses incidences sur le travail des élèves, des professeurs et sur le système éducatif. Ce texte respecte tant la loi d’orientation que les principes de la charte des programmes, établis par le CSP. Il fait des choix établis et assumés pour transformer l’essai d’un socle réellement commun, démocratique et républicain. Il se veut lisible par tous les acteurs de la communauté éducative.

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13 réponses à “Socle commun : les propositions du SE-Unsa

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  2. Bonjour, Où peut-on lire le projet du nouveau socle commun de connaissances, de compétences et de culture élaboré par le Conseil Supérieur des Programmes ? Je ne trouve de lien nulle part. Merci

  3. La dernière version de travail rendue publique par « Le Monde » est ici.
    Le texte continue d’être travaillé par le CSP et devrait être remis officiellement le 9 juin prochain.

  4. …. Les 5 domaines d’apprentissage sont les suivants
    * * Mathématiques sciences et technologie…
    … 2 Domaine scientifique
    Mathématiques, sciences (SVT, physique-chimie) et technologie…
    … Domaine des sciences
    Chercher l’erreur !!!
    Bon courage car de telles approximations vont vous poser de sérieux problèmes.

  5. J’ai tout bien lu votre proposition, ainsi que celle du CSP. Je n’ai pas une analyse assez fine pour cerner les divergences, pouvez-vous m’éclairer?

  6. Donc, d’après ce que je comprends, en fait vous êtes d’accord sur le fond mais le projet n’est pas encore assez aboutit.
    Je me questionne vraiment car j’étais en stage avec Denis Paget le 19 mai, et ses propos allaient dans le même sens que ce que je lis ici ou dans l’autre article. Il serait dommage de créer des polémiques si tout le monde est d’accord. Pour une fois, on pourrait se serrer les coudes et avancer ensemble!
    J’espère que ce projet ira au bout, car il apporte une vision très ambitieuse de l’Education Nationale. Pourvu que la politique ne se presse pas trop, et soit assez courageuse pour aller au bout d’une véritable réforme!

  7. Je rajoute que le gros boulot des convaincus d’une nécessité de réformer va à mon avis être de convaincre la majorité, qui est dans notre métier toujours difficile à faire bouger, on l’a vu avec les rythmes…

  8. Les spécificités disciplinaires ne sont pas niées, si c’est ce que vous voulez signifier à travers votre message. Les domaines interdisciplinaires, comme leur nom l’indique, repose sur des disciplines, mais croisent au mieux des entrées communes. Les dénominations, quelles qu’elles soient, tendent à la simplification.

  9. Nous partageons cette volonté d’aboutir à un socle commun courageux. Ce n’est pas par esprit polémique que nous pointons des désaccords. Comment concevoir une réforme dite curriculaire en se penchant uniquement sur la redéfinition des contenus d’enseignement, aussi beaux et ambitieux soient-ils. Les enjeux les plus importants sont ailleurs : équilibre dans les objectifs du socle commun, socle lisible et utilisable et opératoire, modalités d’évaluation qui aident vraiment les collègues, compétences réaffirmées et non reléguées… Il y a encore du boulot, il y a même urgence à notre avis. L’essentiel de ces critiques étaient portées à l’encontre du premier socle commun. les résout-on vraiment ?

  10. Socle ou pas socle, peu importe. Si socle il y a, la question est comment on l’évalue ???Note, ou pas autre chose. Aurons nous des outils pour nous y retrouver ?
    Et puis, LA question fondamentale, à quoi ça sert ? Car si on veut vraiment un socle pour tout le monde, les compétences essentielles sont seulement la lecture, l’écriture et les 4 opérations mathématiques, rien de plus. Sinon, on exclue trop d’élèves.

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